Tu sais mais mon Bébé je ne peux pas
Non non non, je ne suis pas prête pour ça
Il faut laisser tomber, il n’faut pas insister
Je ne veux, je ne peux pas t’épouser
J’avais la conscience tranquille, jusqu’au jour où il m’aborde.
Il me dit Claudie, j’ai envie de jouir de ton corps,
Il me l’avait dit plus d’une fois ; sachant qu’il avait tort
Mais comment peux-tu le faire à ta fille, tu m’as fais peur,
Et le jour où ; il devait me faire des cours où,
Il devait m’apprendre à comprendre mes cours de math où,
Il devait le faire, sans arrière -pensées ni détours
J’ai eu peur ce jour la, je me souviens de tout.
J’étais la seule dans la classe, qui n’avait fait de cours,
Nous étions deux dans la salle, il m’avait pris de cours,
J’étais seule voulant crier, il m’a frappé du coup,
J’ai eu peur ce jour la, je me souviens de tout,
J’avais à peine 12 ans ; je ne serai pas indulgente,
T’as fais un crime, un mal un viol, et un drame,
Et à présent j’ai mal ; j’ai peur et je rame,
Enfin la morgue et le vague à l’âme ta peine
Je t’en flamme.
[REFRAIN] :
Je suis une fille, Et non une femme
Je le lui ai dit, plusieurs fois, il ne m’a pas entendue,
Je suis ta fille, Et non ta femme,
On a beau crier, tout assoiffé de savoir
Je suis une fille, Et non une femme
Je le lui ai dit, plusieurs fois, il ne m’a pas entendue,
Je suis ta fille, Et non ta femme,
Un enfant qui est tout aussi assoiffé de savoir,
C’est n’est parce que t’as été victime d’un crime,
C’est n’est pas pour lui, que tu vas vivre dans l’abîme,
C’est n’est pas pour cela, femme, réveille ton esprit
Chez nous ici on vie ici ; ici c’est enfer,
Sache une chose, la vie nous réserve des surprises,
Sache que, ils ne seront pas aussi des dernièrs,
Prend ton temps, pour aller aussi de l’avant
Easy dans le easy quitte dans le clan des feignants
Je t’aime Bébé ; je voudrais faire de toi mon abil
Je voudrais aller vivre ailleurs, avoir des Bébés,
Je veux ma mémé, t’offrir un ciel, rose, bébé
Pourquoi ne pas venir avec moi ; j’ai lancé les dés
Ecoute mémé, moi je le fais, pour d’aider
Aucunement je n’ai dans la tête de mauvaises idées
Je t’aime, femme, essaye au moins de m’écouter,
Ecoute car, j’ai envie de t’épouser.
REFRAIN
J’aime bien tes calins ; et aussi ton baratin,
Mais il n’existe pas, de nos jours des gars sains,
J’aime ta manière de rester encore, dans l’espoir
Mais tu ne vas jamais à buser de mon cœur, je l’espère,
J’aime ton regard ; garde le, t’es un bel homme
T’as la beauté d’une femme ; à toi d’arranger la panne,
J’ai pas confiance hé ; c’est juste une chance hé
C’est vrai que j’ai peur de revoir, mon mal et malheur,
Et le jour où ; tu seras aussi dans mon cœur,
Et le jour où, tu auras à peine une lueur,
Mais le jour où, t’abuseras aussi de mon corps,
Ce jour là ouais je ferais tout à l’abus,
C’est bien de baiser une femme, au lieu de blesser une fille,
Vous les hommes, ce qui vous intéresse, c’est de glisser d’abord,
Et encore j’ai eu le mal d’homme, j’ai eu le mal d’âme,
J’ai eu peur pour une fois je m’en souviens d’ailleurs.
Je sus une fille, et non ta femme
Faut pas me faire cela pourquoi me faire tout ça
Je suis ta fille je ne suis pas ta femme
Je sus une fille, et non ta femme
Faut pas me faire cela pourquoi me faire tout ça
Je suis ta fille je ne suis pas ta femme